L'ORATOIRE CELTE

L'ORATOIRE CELTE: (Tome 1)
Police et proches recherchent l’auteur de ce meurtre et son mobile, à Bruxelles et dans le Département lorrain de la Meuse. Vincent y avait en effet effectué des repérages cinématographiques la saison précédente. Méandres de l’Histoire: Celtes de la Gaule Belgique, États rivaux d’Austrasie et de Neustrie, rencontre entre l’abbé Rimaglus et la chanoinesse Begga - deux futurs saints ! Une Lotharingie qui mystifie les protagonistes, a fortiori quand surgissent de l’Histoire… Rommel et Himmler...

FRUCTIDOR

FRUCTIDOR: (Tome 2)
Dans la ville-jardin de Fructidor, le Bourg-maire a disparu. L’inspecteur principal Simon découvre cette coopérative originale de logement fondée dans le creuset du mouvement ouvrier et l’histoire du cinématographe. Des homicides étranges viennent troubler les cercles concentriques du modèle urbain d’Ebenezer Howard. Passé et présent s’y interpénètrent, comme les venelles de ses cottages. Y planent même les ombres de Jean Jaurès, Rosa Luxemburg et Antonio Gramsci...

Daniel Remacle

L’auteur

Daniel Remacle est né en 1955 à Bruxelles. Doté d’une formation de juriste en droit belge et européen, il a travaillé principalement dans les domaines du cinéma, de l’audio-visuel et de l’immobilier social.

Titulaire de différents prix dans les domaines de l’écriture, de l’éloquence et du cinéma, il est passionné par l’Histoire et l’architecture. Ses marottes sont le feng-shui, le modélisme et les romans historiques.

Notamment remarqué pour son fort ancrage belge, son premier roman, « L’Oratoire celte » a été finaliste du Prix Fintro 2020 Écritures noires à la Foire du Livre de Bruxelles.

Son deuxième roman «FRUCTIDOR – Meurtres dans la Ville-jardin» est une uchronie qui a mûri comme un vin de caractère.

Daniel Remacle vit maintenant en France où il écrit.


Quelques remarques transmises par le jury de présélection du Prix Fintro à l’occasion de la nomination:

«L’écriture est belle, les niveaux de langues bien maîtrisés. On passe avec fluidité d’une époque à l’autre. Le récit est captivant. L’ancrage belge est vraiment étonnant. On sent que l’auteur est très documenté. (...) On se croirait tantôt dans l’ambiance du Nom de la rose, tantôt dans un polar contemporain maniant l’humour et les multiples références. Cela fait du texte une belle réussite.»


« Nom d’une pipe!» auraient pu dire le commissaire Maigret ou le capitaine Haddock, dont les quenottes taquinent souvent l’embout d’une bouffarde. Le célèbre tableau de René Magritte représentant une pipe et sous-titré «Ceci n’est pas une pipe» a fait le tour du monde. Le peintre surréaliste belge avait intitulé son tableau «La trahison des images» (1928-29). Cette locution devait d’ailleurs servir à intituler des expositions de son œuvre. Dans une énième déclinaison du thème, l’auteur s’est emparé à son tour de ce sous-titre en forme d’aphorisme. C’est sans doute qu’il y a polar et polar. Le propre des Belges n’est-il pas l’autodérision ? En tout cas, il y a au moins un point commun entre l’enquête policière et l’intérêt pour l’Histoire : la recherche du mobile, la compréhension des causes, la plongée dans les racines. Chacun.e se fera son idée, certain.e.s augurant que ce n’est pas un polar, d’autres pensant que cela en inaugure une énième branche... Quoi que le lecteur présume, l’auteur assume.